Lemicrobe n'est rien, le terrain est tout"(Pasteur) La Naturopathie est l’art de rester en bonne santĂ©, d’ĂȘtre Ă  nouveau acteur et responsable de sa santĂ© et de prendre soin de soi par des moyens naturels. Femmes, hommes, bĂ©bĂ©s, adolescents, adultes, personnes ĂągĂ©es tout le monde peut venir voir un naturopathe. Fatigue, troubles du sommeil et de l'humeur, problĂšmes de 100 000 citations et de proverbes HomeCatĂ©gories CatĂ©gories images CatĂ©gories Proverbes CatĂ©gories Filles CatĂ©gories Saviez-vous Que ? CatĂ©gories Conseils Utiles CatĂ©gories Blagues / Humour CatĂ©gories Texte Citations en images Citations Culture GĂ©nĂ©rale Citations D’amour Citations Tristes Citations sur le Bonheur Citations sur L’amitiĂ© Citations sur la Confiance Citations sur le PassĂ© Citations sur le PrĂ©sent Citations sur L’avenir Citations SĂ©paration / Rupture Citations sur la Solitude Citations sur le Stress Citations Douleur / Blessure Citations du Courage et de L’espoir Citations sur L’argents Citations sur les Accidents Citations sur les Films Citations sur les Mensonges Citations sur les Mariages Citations textes Citations D’amour Citations Tristes Citations sur le Bonheur Citations sur la Confiance Citations sur la Trahison Citations sur L’amitiĂ© Citations sur L’argents Citations sur la Femme Citations sur L’homme Citations sur la VĂ©ritĂ© Citations sur le Mensonge Citations sur L’infidĂ©litĂ© Citations sur la Gloire Citations sur L’intelligence Citations Heureux Citations sur la Jalousie Citations sur la Vengeance Proverbes Courage / Espoir Citations sur la Nostalgie Ex-Citations Citations Filles Citations D’amour Filles Citations Filles Confiance Citations Filles Avenir Citations Filles Rupture Citations Filles AmitiĂ© Citations Filles BeautĂ© Citations Filles Bonheur Citations Filles Fort Citations Filles Blessures Citations Filles Courage Citations Filles Vie Citations Filles RĂȘve Citations Filles Sourire Citations Filles Tristesse Citations Filles PassĂ© Citations Filles Conseils Citations Filles Relation Citations Filles Relations Amoureuses Citations Filles Estime de soi Citations Filles PensĂ©es Inspirantes Autres citations Sais tu aimer ? Saviez-vous que Conseils Utiles Le saviez-vous ? Avez-Vous DĂ©jĂ  Une idĂ©e PensĂ©es de Filles Sms d’amour Blagues et Humour Populaires Citations AlĂ©atoires Contacte Laisser un commentaire Citations AlĂ©atoiresCitation sur la vie Dans la hiĂ©rarchie artistique, les oiseaux sont les plus grands musiciens qui ... Dans la hiĂ©rarchie artistique, les oiseaux sont les plus grands musiciens qui existent sur notre planĂšte. »Citation marcel mithois Il est trĂšs mal vu d’ĂȘtre Ă©lĂ©gant dans les bons milieux intellectuels. Etr... Il est trĂšs mal vu d’ĂȘtre Ă©lĂ©gant dans les bons milieux intellectuels. Etre propre, c’est dĂ©jĂ  uneCitation courte Le couteau de poche, le plus sĂ»r artisan de la culture populaire. – henri vincenot... Le couteau de poche, le plus sĂ»r artisan de la culture populaire. » – henri vincenot Autres citations queHomeAvez-Vous DĂ©jĂ  Une idĂ©e Blagues et Humour Conseils Utiles Le saviez-vous ? Messages et Sms d’amour PensĂ©es de Filles Sais tu aimer ? Saviez-vous que ï»ż Le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Antoine BĂ©champ (1816-1908), docteur en science, en mĂ©decine, en chimie et diplĂŽmĂ© en pharmacie. Plus tĂŽt le naturopathe intervient, mieux il peut prĂ©venir l’évolution de ces dĂ©sĂ©quilibres. Et si la maladie est dĂ©jĂ  installĂ©e, la naturopathie constitue un complĂ©ment trĂšs prĂ©cieux de la mĂ©decine conventionnelle, notamment

PrĂ©misses En suivant avec attention tout ce qui se dit sur l’actuelle pandĂ©mie, notamment sur les vaccins, il semble utile d’y ajouter des observations. Pasteur aurait dit, Ă  la fin de sa vie BĂ©champ avait raison. Le microbe n’est rien, le terrain est tout ». L’observation empirique dĂ©montre ce fait, dans n’importe quel domaine biologique, social, psychologique, l’idĂ©ologique. En son temps, Mao TsĂ© Toung si ma mĂ©moire est correcte employa une mĂ©taphore dont voici la substance. ConsidĂ©rons un coup de poing. S’il frappe une tomate, elle se rĂ©duit en miettes ; si, par contre, il frappe un caillou, c’est le poing qui est rĂ©duit en miettes. De maniĂšre plus conceptuelle, dans tout phĂ©nomĂšne, sa ou ses contradictions internes, autrement dit les conflits qui s’y trouvent, sont d’abord Ă  considĂ©rer pour estimer combien des contradictions externes Ă  ce phĂ©nomĂšne autrement dit des conflits qui le visent peuvent influencer ce phĂ©nomĂšne. ExprimĂ© d’une maniĂšre axiomatique toute considĂ©ration sur un fait doit rechercher et trouver sa cause premiĂšre, laquelle provoque des causes secondaires. Pourquoi commencer par ces prĂ©misses ?
 Pour dire que les propos suivants sont dictĂ©s par l’observation empirique, laquelle dĂ©pend du bon sens et de raison garder, sans considĂ©rer les propres convictions, la propre morale ni idĂ©ologie. Chats et fripons Dans la majoritĂ© des arguments justifiant ou rĂ©cusant l’emploi de vaccins, d’une maniĂšre particuliĂšre, comme dans les considĂ©rations sur la pandĂ©mie actuelle, en gĂ©nĂ©ral, ne semble-t-il pas que ce qui a Ă©tĂ© dit dans les prĂ©misses ci-dessus n’est pas respectĂ©, ou pas de maniĂšre suffisamment claire, autrement dit, pour reprendre l’expression de Boileau, d’ appeler un chat, un chat, et un fripon, un fripon » ? Essayons donc de clarifier. La pandĂ©mie et le dĂ©bat sur les vaccins, dans quel systĂšme social existent-ils ?
 Dans un systĂšme capitaliste, privĂ© ou Ă©tatique, mais capitaliste. Quelle est la base et la caractĂ©ristique principales de ce systĂšme ?
 Le profit financier, l’enrichissement. De qui ? De tous ?
 Non pas d’une minoritĂ© d’environ 1 %, composĂ©e de dĂ©tenteurs de capital consistant genre Bill Gates, Rothshild, Soros, etc., sans oublier les actionnaires, du plus important aux plus petit. Tout ces gens-lĂ , quel est le motif premier de leurs activitĂ©s, de leur existence sur cette planĂšte ?
 Produire le bonheur sur terre pour toute l’humanitĂ© ? Ou, d’abord, produire leur enrichissement financier personnel ? Et quand ce dernier entre en conflit avec le bonheur de l’humanitĂ© toute entiĂšre, est que le dĂ©tenteur de capital ou d’action capitaliste choisit de renoncer Ă  son enrichissement personnel au dĂ©triment du bonheur de l’humanitĂ© ou, au contraire, il opte pour le bonheur de l’humanitĂ© au dĂ©triment de son enrichissement personnel ? Le systĂšme capitaliste est clair Ă  ce sujet prioritĂ© au profit financier personnel du dĂ©tenteur de capital ou d’action. Évidemment, dans leurs dĂ©clarations, les capitalistes prĂ©tendent le contraire, en invoquant Dieu ou la Morale » qu’ils Ɠuvrent pour le bonheur de l’humanitĂ©. Enrichissez-vous ! » proclamait le ministre français Guizot, Ă  l’aube du capitalisme. À l’époque du mĂȘme capitalisme devenu triomphant contre le socialisme » plus exactement, capitalisme Ă©tatique, autre dĂ©clara Il n’y a pas de honte Ă  s’enrichir ! », en ajoutant Qu’importe si le chat est noir ou blanc, l’important est qu’il attrape la souris ! » Deng Xiao Ping, qui se disait communiste ». Serait-il incorrect de dĂ©duire de ce qui vient d’ĂȘtre dit Qu’importe le sort de l’humanitĂ©, l’important est de rĂ©aliser un profit financier !
 Oui, bien entendu on prĂ©tend que l’enrichissement profitera Ă  l’humanitĂ© entiĂšre. L’observation empirique montre qui est le profiteur de cette situation d’abord une minoritĂ© d’individus, et une amĂ©lioration relative des classes moyennes il faut qu’ils achĂštent pour produire du profit aux marchands. Quant au reste de l’humanitĂ©, - qui est la majoritĂ© -, qu’elle se dĂ©brouille ou meure. Loi de sĂ©lection sociale, conforme Ă  celle naturelle », disent les capitalistes. On objecterait mais la personne qui penserait ainsi serait folle, car, pour rĂ©aliser un profit financier, il est nĂ©cessaire d’exploiter des ĂȘtres humains, il faut des souris » Ă  attraper, des exploitĂ©s d’oĂč tirer une plus-value. RĂ©ponse. Observez empiriquement, exactement comme le savant observe un microbe, le comportement rĂ©el en le comparant aux dĂ©clarations des capitalistes. Ne constate-t-on pas les traits essentiels du psychopathe ? Dans un essai, je signalais les observations d’un psychologue canadien. Il n’a rien d’un anarchiste, communiste, gauchiste, complotiste, contestataire. Il est renommĂ© pour ses recherches sur la psychologie criminelle Le Dr Robert Hare, un consultant pour le FBI sur les psychopathes, Ă©tablit des parallĂšles entre un psychopathe et la corporation moderne. Ses conclusions corroborent le comportement suivant dure indiffĂ©rence pour les sentiments d'autrui, incapacitĂ© Ă  maintenir des relations durables, imprudent mĂ©pris pour la sĂ©curitĂ© d'autrui, trompeur en mentant Ă  rĂ©pĂ©tition et en trompant les autres en vue du profit, incapacitĂ© de faire l'expĂ©rience du sens de culpabilitĂ©, incapacitĂ© Ă  se conformer aux normes sociales avec respect pour les comportements licites. » 1 DĂšs lors, concernant la pandĂ©mie actuelle et toute autre, et les maniĂšres de l’affronter vaccin ou pas, gratuit ou payant, curatif ou dangereux, etc., faut-il s’étonner du comportement actuel de tout ce qui appartient et se nourrit du systĂšme capitaliste, c’est-Ă -dire de la prioritĂ© absolue du profit financier personnel d’une minoritĂ© d’individus ? RĂ©forme ou rupture ? Une dĂ©claration m’a contraint Ă  rĂ©flĂ©chir, d’oĂč la rĂ©daction de ce texte. Une dĂ©putĂ©e italienne, Sara Cunial, parlant au Parlement, dĂ©nonça les mĂ©faits de la gestion actuelle de la pandĂ©mie, allant jusqu’à demander de dĂ©fĂ©rer Bill Gates pour crime contre l’humanitĂ© auprĂšs du Tribunal PĂ©nal International 2. En envoyant cette information Ă  un ami italien, gĂ©nĂ©ralement bien informĂ©, il resta perplexe Ă  propos de cette dĂ©claration. Alors, je lui ai envoyĂ© la dĂ©claration de Robert Kennedy Jr concernant les implications du mĂȘme Bill Gates dans l’affaire de la pandĂ©mie 3. L’’ami italien n resta effarĂ© Est-ce possible ? » Je lui expliquais qu’il n’y avait pas de quoi l’ĂȘtre. En effet, s’il peut exister un capitaliste qui se prive de son capital optant pour une vie ordinaire de citoyen ou en offre une partie pour des Ɠuvres bĂ©nĂ©ficiant rĂ©ellement Ă  l’humanitĂ© et non pas exploitant de maniĂšre opportuniste cette action pour augmenter son capital, ce genre de personne est l’exceptionnelle exception Ă  la rĂšgle absolument dominante. DĂšs lors, et retournant aux prĂ©misses introductives, n’est-il pas lĂ©gitime, raisonnable et logique de poser la question le systĂšme capitaliste est-il rĂ©formable ?
 Par exemple, pour une gestion correcte, c’est-Ă -dire au bĂ©nĂ©fice de l’humanitĂ© et non pas d’abord de l’enrichissement financier personnel, suffit-il Ă  Sara Cunial de proposer l’envoi de Bill Gates devant le Tribunal PĂ©nal International ? Suffit-il Ă  Robert Kennedy Jr de dĂ©noncer les mĂ©faits de Bill Gates ? Suffit-il aux professeurs Didier Raoult, Stefano Montanari et autres savants non dĂ©pendants financiĂšrement de firmes capitalistes de dĂ©noncer les malfonctionnements du systĂšme sanitaire national et mondial ? Certes, aprĂšs la victoire contre le nazisme et le fascisme Ă  la fin de la seconde guerre mondiale, puis durant l’existence des deux blocs idĂ©ologiques pendant la guerre froide, les dirigeants capitalistes furent contraints, oui contraints, de pratiquer des politiques sociales pour empĂȘcher leurs peuples d’ĂȘtre attirĂ©s par le modĂšle social adverse. Mais, Ă  prĂ©sent que le capitalisme domine la planĂšte entiĂšre, sous forme privĂ©e ou Ă©tatique, les capitalistes considĂšrent avoir toute la libertĂ© de s’enrichir sans freins, Ă  outrance. Ils reviennent au capitalisme sauvage du dĂ©but de ce systĂšme. À celles et ceux qui s’étonnent de les voir mettre en pĂ©ril jusqu’à l’existence de l’espĂšce humaine sur terre, notamment par l’exploitation effrĂ©nĂ©e de la nature, par la course aux armements y compris bactĂ©riologiques, faut-il rappeler le caractĂšre psychopathe des partisans du profit avant tout ? L’histoire le montre toute oligarchie n’accepte jamais de disparaĂźtre sans entraĂźner avec elle ceux qui la font disparaĂźtre AprĂšs moi, le dĂ©luge ». À l’heure actuelle , cependant 1 les forces d’opposition Ă  ce systĂšme capitaliste ne disposent pas d’un rapport de force sociale nationale et mondiale favorable, parce que 2 les peuples sont gĂ©nĂ©ralement anesthĂ©siĂ©s par les moyens de conditionnement et de consentement contrĂŽlĂ©s par les capitalistes, et 3 les dĂ©tenteurs d’un savoir Ă©mancipateur demeurent une minoritĂ© disposant de peu de moyens d’action et de diffusion de leurs idĂ©es. Faut-il se rĂ©signer ?
 Rappelons un prĂ©cĂ©dent historique. Dans la GrĂšce puis la Rome antiques, comme dans la Chine antique, existait le systĂšme esclavagiste. Il dominait Ă  tel point que, en GrĂšce, les plus Ă©minents » penseurs Platon, Aristote considĂ©raient le systĂšme esclavagiste comme naturel » et Ă©ternel » ; seules de rares personnalitĂ©s Ă  contre-courant dĂ©nonçaient l’esclavage comme une tare sociale Ă  Ă©liminer AntisthĂšne, DiogĂšne de Sinope, Épicure. En Chine, de mĂȘme, le plus Ă©minent » penseur considĂ©rait la domination de la minoritĂ© sur la majoritĂ© comme normale » et appelait uniquement Ă  une charitĂ© humaine » Confucius ; lĂ  aussi, seules de rares personnalitĂ©s Ă  contre-courant dĂ©nonçaient la domination sociale comme une tare Ă  Ă©liminer Zhuang Zi. Tous ces contestataires dĂ©fendaient un principe d’auto-gouvernement par l’ensemble de la communautĂ© des citoyens. AprĂšs plusieurs siĂšcles, sous le coup des luttes populaires et intellectuelles et les contradictions internes au systĂšme esclavagiste, il disparut dans les poubelles nausĂ©abondes de l’histoire. Le capitalisme inventa un esclavage adaptĂ© Ă  son Ă©poque l’exploitation salariale par le conditionnement Ă  la servitude volontaire. Pourquoi, donc, le capitalisme serait-il, comme l’esclavagisme et le fĂ©odalisme auparavant, naturel » et Ă©ternel » ou, encore, le moins pire des systĂšmes » ?
 Certes, il domine actuellement et dominera un certain temps. Mais les AntisthĂšne, les DiogĂšne de Sinope, les Épicure, les Zhuang Zi d’aujourd’hui et de demain, d’une part, et, d’autre part, les rĂ©voltes citoyennes d’aujourd’hui et de demain, faut-il les ignorer, les dĂ©daigner, les mĂ©priser ?
 N’est-il pas raisonnable, logique et, - osons le mot -, honorable en cette Ă©poque obscure de capitalisme triomphant, de ne jamais oublier que le microbe n’est rien, le terrain est tout » ?
 Le terrain, n’est-il pas le niveau de conscience des peuples et de la partie des dĂ©tenteurs de savoir qui en font partie ? Et ce niveau de conscience n’est-il pas Ă  stimuler par toute personne intĂ©ressĂ©e non pas au profit financier personnel, mais Ă  la dignitĂ© collective de l’espĂšce humaine et de son cadre naturel vie vie ? Par consĂ©quent, lutter pour des rĂ©formes, oui ! Entreprendre toutes les actions possibles pour corriger » les errances », incohĂ©rences » et injustices » on appelait cela les contradictions du systĂšme social capitaliste, oui !
 Toutefois, est-ce suffisant sans tenir compte de la cause des causes un systĂšme qui donne la prioritĂ© au profit personnel au dĂ©triment du bien-ĂȘtre de l’humanitĂ© ? Autrement, n’est-on pas dans la situation de personnes se trouvant dans une barque trouĂ©e, se limitant Ă  jeter par dessus-bord l’eau envahissante, sans nĂ©anmoins se prĂ©occuper de se munir d’une barque sans trous ? La barque » qu’est la planĂšte Terre a des trous dans l’ozone, des trous » appelĂ©s bases militaires secrĂštes de guerre nuclĂ©aire et bactĂ©riologique, des trous appelĂ©s spĂ©culations financiĂšres, et des trous qui provoquent des pandĂ©mies mondiales. Quel modĂšle ? D’accord, dirait-on, mais, alors, quelle barque » utiliser, par quoi remplacer le capitalisme ?
 Le systĂšme qui, dans le passĂ©, Ă©tait antagoniste Ă  celui capitaliste a, dĂ©sormais, montrĂ© sa tragique inefficacitĂ©. Il s’est rĂ©vĂ©lĂ© trĂšs vite, au-delĂ  du vocabulaire de novlangue, n’avoir Ă©tĂ© qu’un capitalisme de forme Ă©tatique. Alors, quand on demande lĂ©gitimement Ă  ce que les citoyens, les peuples dĂ©cident rĂ©ellement et en rĂ©elle connaissance de cause de leur sociĂ©tĂ©, que demande-t-on ?
 Une dĂ©mocratie populaire » ?
. Oui, si l’expression n’a pas Ă©tĂ© prostituĂ©e par des rĂ©gimes qui s’en rĂ©clamaient avec la plus hypocrite des impostures. Autogestion sociale ?
 Oui, si le terme n’avait pas Ă©tĂ© stigmatisĂ© comme anarchie » en y voyant dĂ©sordre social et utopie ridicule. Toutefois, l’observation empirique constate le systĂšme capitaliste ne permet pas rĂ©ellement aux citoyens, aux peuples de connaĂźtre correctement les enjeux sociaux pour dĂ©cider raisonnablement qui les reprĂ©senteraient fidĂšlement dans ce domaine. Autrement, le capitalisme serait Ă©liminĂ©. La preuve ?
 C’est toujours la minoritĂ© des dĂ©tenteurs de capitaux privĂ©s ou Ă©tatiques qui dĂ©cident et gĂšrent la planĂšte, Ă  travers des institutions nationales et internationales, dans tous les domaines stratĂ©giques comprenant la santĂ©, Ă©videmment, institutions conçues par eux et appliquĂ©s par leurs employĂ©s convenablement stipendiĂ©s et glorifiĂ©s. Ces derniers sont d’abord les dirigeants politiques Ă©tatiques Ă©lus grĂące Ă  l’argent des capitalistes privĂ©s ou Ă©tatiques, ensuite, les idĂ©ologues qui gĂšrent la machine du consentement servile de la majoritĂ© des citoyens. Revenons Ă  la gestion sociale par le peuple. Les rares fois oĂč elle exista rĂ©ellement, elle fut noyĂ©e dans le sang. Au sujet de l’appellation de cette gestion sociale, peu importe l’expression et les termes employĂ©s ; au fond, c’est le contenu concret qui importe. Bien entendu, il ne s’agit pas d’un modĂšle » tout prĂȘt Ă  appliquer, pas d’une recette toute faite. On a suffisamment constatĂ© le dĂ©sastre du dogmatisme, y compris scientifique » ou rĂ©volutionnaire ». La gestion sociale par les citoyens est une indication, une proposition Ă  expĂ©rimenter, de maniĂšre libre, Ă©galitaire et solidaire. Les trois conditions forment une unitĂ© complĂ©mentaire indissociable. Concluons avec un dicton chinois ancien Un voyage commence par un premier pas ». Le voyage vers l’émancipation de l’humanitĂ© ne consiste-t-il pas Ă  raisonner en distinguant la cause premiĂšre des causes secondaires, le microbe par rapport au terrain, le coup de poing qui frappe une tomate ou un caillou, Ă  dĂ©signer un chat, un chat, et un fripon, un fripon ? _____ 1 Plus de dĂ©tails in La guerre, pourquoi ? La paix, comment ?... », disponible in 2 * PubliĂ© sur RĂ©seau International 21 mai 2020, AlgĂ©rie Patriotique 22 mai 2020 et La Tribune Diplomatique Internationale 22 mai 2020

Episode13 : Le Microbe n'est rien, le terrain est TOUT SĂ©rie Ă©vĂšnement : AU CƒUR DE S.O.I. avec le Dr Ilyes Baghli MĂȘme si, en tant qu'ĂȘtre humain L'ExpĂ©rience du CƓur : Reprend le Pouvoir sur ta VIE - Episode 13 : Le microbe n'est rien, le terrain est TOUT - AU COEUR de S.O.I. - Vues 1 562 Il y a quelque chose d’absolument stupĂ©fiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! VoilĂ  un homme dont la principale gloire Ă  la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessĂ© et mutilĂ© plus de manifestants que l’ensemble des prĂ©sidents de la RĂ©publique qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se reprĂ©sente Ă  la PrĂ©sidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection rĂ©sulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaĂźtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il rĂ©ussit durant son premier mandat Ă  transformer, par touches successives, une dĂ©mocratie en un rĂ©gime autocratique, portant le systĂšme de propagande d’État Ă  un niveau de perfection jamais atteint par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquĂ©e reste nĂ©anmoins classique. Elle consiste Ă  A Lobotomiser la population en rĂ©pĂ©tant une information, toujours identique, formatĂ©e et contrĂŽlĂ©e. Elle est reprise en boucle sur les chaĂźnes publiques de radio et de tĂ©lĂ©vision sans oublier les chaĂźnes privĂ©es d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministĂšre de la VĂ©ritĂ© voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le mĂȘme narratif Ă  longueur de journĂ©e. Personne ne peut y Ă©chapper. Bien sĂ»r, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait lĂ  qu’appliquer des mĂ©thodes de lavage des esprits Ă©prouvĂ©es depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait dĂ©jĂ  dans les annĂ©es trente un mensonge rĂ©pĂ©tĂ© 5 fois reste un mensonge, mais rĂ©pĂ©tĂ© 100 devient vĂ©ritĂ© ». B DĂ©velopper des comitĂ©s de censure dĂ©guisĂ©s souvent en comitĂ©s d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommĂ©s. LĂ  encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent Ă  la crĂ©ation dĂšs 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archĂ©type du comitĂ© de censure d’État Ă  la botte du rĂ©gime, son bras armĂ©, chargĂ© d’asservir l’audiovisuel en dĂ©finissant les temps de passage Ă  l’antenne, en infligeant des amendes exorbi­tantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion Ă  tout site qui serait tentĂ© de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non reprĂ©sentatif de la Nation parce qu’élu non dĂ©mocratiquement des lois liberticides visant Ă  bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet Ă  s’autocensurer et Ă  retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journĂ©e sous la menace d’amendes ou d’ĂȘtre privĂ©s du droit de diffusion. La brĂšve liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des mĂ©thodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertĂ©s fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrĂŽle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du systĂšme de santĂ©, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de rĂ©pression comme l’a montrĂ© la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le rĂ©gime prĂ©serve les apparences d’une dĂ©mocratie puisque des Ă©lections sont organisĂ©es rĂ©guliĂšre­ment 
 sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se rĂ©veiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des annĂ©es le mĂȘme narratif sans rĂ©elle contre information. C’est cela la dĂ©mocrature la majoritĂ© du peuple, lobotomisĂ©e et devenue incapable d’aucun question­nement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisquĂ© le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes
\n \n \n\nle microbe n est rien le terrain est tout

RT@JulietteAlpha17: La lecture de ce communiquĂ© est d'utilitĂ© publique. Pour mieux comprendre l'impact sur toute la #Police. Le terrain n'est rien sans l'investigation et l'investigation n'est rien sans le terrain. Nous sommes un Tout. #SauvezLaPJ đŸ’ȘđŸŒ #SauvezLaPJdeCLEMENCEAU #StopReformeDDPN . 25 Aug 2022 13:56:47

Emma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayEmma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est toutLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de SophieDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de Sophie
Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et com ‎Show Emma Coach Naturo, Ep Le microbe n'est rien, le terrain est tout - Jan 2
ï»żCette citation est souvent utilisĂ©e par les naturopathes pour expliquer une vision de la santĂ© dans laquelle le terrain de l’individu est central pour prĂ©venir de la maladie. Cette phrase est enseignĂ©e dans toutes les Ă©coles de Naturopathie et fait partie des jalons historiques qui ont amenĂ© Ă  la pensĂ©e naturopathique moderne. Mais cette citation ne prĂ©sente-t-elle pas une vision extrĂ©miste qui est bien loin de la rĂ©alitĂ© du vivant et qui va mĂȘme Ă  l’encontre des enjeux d’une santĂ© intĂ©grative ? Un contexte indispensable J’ai rarement vu une citation attribuĂ©e Ă  autant de personnes BĂ©champ, Bernard et mĂȘme Pasteur sur son lit de mort ! Ce joyeux bazar de paternitĂ© rĂ©vĂšle bien les dĂ©rives qui accompagnent cette phrase une utilisation qui Ă©lude le contexte historique et alimente un conflit stĂ©rile entre deux camps, deux visions de la santĂ©. Retournons Ă  la fin du 18e siĂšcle, Antoine BĂ©champ constate dans ses recherches le plĂ©iomorphisme microbien en fonction du contexte, le microbe peut devenir l’expression d’une maladie et non plus sa cause. ProblĂšme, cette constatation vient relativiser la vision monolithique de Pasteur qui considĂšre le microbe comme l’ennemi Ă  abattre car Ă  l’origine de tous les maux. Il n’en fallait pas plus pour lancer une guerre de dogmes. Chaque camp utilise la caricature pour ridiculiser l’autre, les positions se radicalisent et on arrive Ă  cette opposition binaire “microbe est tout” vs. “microbe n’est rien”. BĂ©champ ? Avec un peu de recul, j’estime que cette citation n’illustre pas vraiment la conception de santĂ© initiale de BĂ©champ, qui Ă©tait beaucoup plus modĂ©rĂ©e et subtile. Si BĂ©champ l’a prononcĂ©e, ce serait plutĂŽt sur le coup d’un agacement face aux attaques, du style un tweet rageux. Cette phrase est la relique d’une bagarre stĂ©rile entre deux visions caricaturales qui s’employaient Ă  prendre le dessus l’une sur l’autre. La mĂ©decine pasteurienne a gagnĂ© le combat Ă  l’époque mais depuis, les opposants Ă  cette philosophie n’ont de cesse d’exhumer la citation de BĂ©champ pour critiquer la mĂ©decine conventionnelle. Et si on passait Ă  autre chose ? Un discours totalitaire n’est que vecteur de clivage. Pourtant, les naturopathes diffusent cette citation sans vraiment prendre conscience de sa dimension dogmatique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire de la sensibilisation sur le terrain sans retomber dans ces travers passĂ©s ? Et puis, les recherches rĂ©centes, notamment sur le microbiote, rendent complĂštement dĂ©suĂšte cette citation. Le microbe virus, bactĂ©rie, champignon fait partie de notre terrain et joue un rĂŽle majeur pour notre immunitĂ©. Il n’est donc pas “rien” mais aussi un alliĂ© indispensable Ă  notre santĂ©, Ă  notre rĂ©sistance aux maladies et tout simplement Ă  notre vie. La naturopathie est d’ailleurs particuliĂšrement vigilante Ă  prĂ©server l’équilibre intestinal et Ă  chouchouter le microbiote. N’est-il pas contradictoire de sensibiliser les gens sur les “bons microbes” qui ont un rĂŽle central dans le travail du terrain et en parallĂšle se rĂ©fĂ©rer Ă  une citation qui assĂšne que le “microbe n’est rien” ? Vers la santĂ© intĂ©grative J’ai pris conscience de cette contradiction en Ă©coutant le Dr Daniel PĂ©noĂ«l qui lors d’une confĂ©rence s’est moquĂ© gentiment des naturopathes et de leur citation prĂ©fĂ©rĂ©e. La dimension binaire de cette phrase est en effet trĂšs loin de la rĂ©alitĂ© de la vie qui est tout en nuances et en subtilitĂ©. Le vivant est dans une recherche permanente d’équilibre en activant de multiples symbioses et interactions entre le milieu intĂ©rieur et l’environnement. Tout ou rien, bien ou mal, cette logique de dualitĂ© n’a pas vraiment cours au sein de notre organisme. Il est donc grand temps d’enterrer dĂ©finitivement cette citation, ou du moins de la relayer aux livres d’Histoire, afin de construire une vision de la santĂ© moins radicale dans laquelle les diffĂ©rentes approches puissent se nourrir et non se combattre, Ă  la maniĂšre de la synergie vertueuse entre les microbes et notre organisme.
Sujet Le microbe n'est rien, et le terrain est tout ! Lun 28 AoĂ» 2006, 10:07 am Coronavirus! «Le microbe n’est rien, le terrain est tout». Sans vouloir minimiser ni le nombre de personnes ayant contractĂ© le virus, ni le nombre de personnes dĂ©cĂ©dĂ©es des suites des ces atteintes pathologiques, j’ai envie de paraphraser le Dr BĂ©champ : «Le virus n’est rien (ou pas grand chose), le terrain est tout». BCcRHHf.
  • 81lj825zbs.pages.dev/291
  • 81lj825zbs.pages.dev/317
  • 81lj825zbs.pages.dev/264
  • 81lj825zbs.pages.dev/102
  • 81lj825zbs.pages.dev/286
  • 81lj825zbs.pages.dev/190
  • 81lj825zbs.pages.dev/40
  • 81lj825zbs.pages.dev/3
  • 81lj825zbs.pages.dev/90
  • le microbe n est rien le terrain est tout